Photo: Cath Langlois
Une production du Théâtre de la Marée Haute, en codiffusion avec le Théâtre de Quat’Sous
Un soir de printemps, deux hommes se présentent avenue des Pins et cognent à la porte du théâtre. On les laisse entrer. Ils se sont perdus en chemin et demandent « l’asile poétique », laissant leur vieux Thunderbird 1977 à l’entrée. Étranges vagabonds, clowns tragiques, père et fils, frères, amis, amants, joyeux saltimbanques… qui sont-ils ?
Acteurs chantants, danseurs hésitants, ils décideront de s’approprier les lieux et laisseront un peu de leur délire théâtral sur tous les étages de la maison en y déposant des petits morceaux de vies, des parcelles de rêves pour mieux atteindre le ciel et les étoiles.
Spectacle performance musicothéâtral, absurde, fou, tragique et très ludique, ce déambulatoire invraisemblable nous parle de l’Amérique en dérive, de nos rêves tordus et des fulgurants désirs qui habitent nos corps.